mon Désarroi

Au quotidien, je vis et j'aime
Hélas je dois lutter aussi
Pour rien de bien extraordinaire
... Non ...
Pour chasser le superficiel qui m'étouffe !
Une sensation sans nom ni visage
Omniprésente, elle dessine des priorités absurdes :
Célébrité, argent, possession sont ses synonymes.
Elle se veut vitale,
Erronément certains se la tatoue sur le coeur
Ils seront dès lors perdus :
le Sentier qui porte à soi disparaìtra peu à peu
Tel est mon Désarroi car, malgré moi,
Je vois amis et parents s'aventurer au loin,
Bien loin d'eux-mèmes :
Là où la vie n'a plus aucun droit !

tres jolie prose !!! l'errance des êtres ...

et pourtant il ne suffit de presque rien pour que l'étincelle ne s'éteigne

C'est bien vrai : notre feu vital est sacré !